parquet salon/bureau septembre/novembre 2016
Un exemple du travail de préparation : chaque lame aura été mesurée et classée selon leurs irrégularités avant recoupe.
Les lambourdes, irrégulières (mais ça, c’était normal : lambourde de charpente, et non de parquet), mesurées et découpées en conséquence de leur planéité.
Du coup, découpe d’une quantité non négligeable de calles, précision à 8/10 de mm : les lambourdes n’étant évidemment pas droites.
le travail peut vraiment commencer : pose lambourdes, isolant (ouate de cellulose et lames vissées à la règle.
Précisons que les vieilles chaussures ne sont pas un nouvel isolant tendance, genre « je recycle » : nous avons des chaussures qui traînent, voilà tout, et pas toujours un nombre pair. Merci Titi qui décompacta
Chaque « partie droite » des lambourdes est fixée au sol, en 2 ou 3 points par le truchement de vis chevillée dans la dalle. Nous craignions un problème structurel : la matière chanvre de la dalle n’étant pas assez « retenante » même avec cheville, il y avait un risque que les lames ne se relèvent. (Après 4 années, ça n’a pour l’instant pas bougé).
Une modélisation de la porte bureau/chambre avec installation du système coulissant, à intégrer à ce moment pour adapter la découpe des lames.
Il aura fallu creuser la dalle chanvre pour ménager la réservation accueillant le ventilateur (17 décibel)
Un raccord « maison », les standards augmentent considérablement le diamètre et ne passent pas dans l’espace proposé par les lambourdes.
Passage des gaines qui alimenteront, un jour, la table basse : prise, lumière et réseau filaire avec l’écran TV.